Nous avons réalisé l’indice Green Web pour sensibiliser tout un chacun à l’impact environnemental des sites web et de leur utilisation. Cet indice, vous permet d’en avoir un aperçu relatif.
Dans la version publique, l’indice GreenWeb est calculé à partir de 5 critères principaux :
- Les données transférées au chargement d’une page
- L’énergie utilisée par les Data centers, les réseaux télécoms et les terminaux
- Le type de production énergétique utilisé
- L’intensité carbone des énergies utilisées
- L’audience du site web
Ces critères sont pondérés par :
- L’intensité énergétique des données web: 1.8kWh/GB
- L’intensité carbone des différentes sources énergétiques:
- 475 grammes CO2e par kWh
- 33.4 grammes CO2e par kWh pour les énergies renouvelables.
- L’audience du site au mois en fonction du nombre moyen de pages vues
Le résultat est proposé sur la forme d’un éco-score de 0 à 100. 100 étant la note maximale.
Entre autres, plus un site limite ses requêtes serveurs, le poids des datas transférées, et utilise des sources d’énergie renouvelable, plus il obtient un éco-score supérieur.
Une page d’accueil de site atteignant un score supérieur à 80/100 présente des critères de site plutôt éco-responsable, ayant un impact plus limité sur l’environnement.
Évidemment cet indice ne permet d’avoir qu’un aperçu à partir d’une seule page.
La version privée de l’indice Green Web ( sur demande), quant à elle, prend en considération la navigation complète moyenne des utilisateurs finaux (en fonction de l’UX). Le résultat est alors beaucoup plus précis.
Ps: Chez Green Web, nous considérons qu’aucune émission carbone ne peut être compensée. En revanche, nous incitons nos clients à engager des contributions climatiques, c’est -à -dire d’initier des actions en faveur du climat à travers des projets d’acteurs internes ou externes à GreenWeb. Ainsi, planter des arbres pour reforester n’est pas une compensation carbone. En revanche, ces actions contribuent au climat, au stockage de CO2 (dans le cas d’une forêt) et à réduire la pollution de l’air. En ces temps de feux de forêts massifs, ne pas planter d’arbres serait un non-sens, particulièrement pour les générations à venir.